Critiquables à bien des égards, les éditions spéciales de la trilogie Star Wars ont cependant eu le mérite de soulever une question assez intéressante : À qui appartient un film, à son créateur ou au public ?
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Critiquables à bien des égards, les éditions spéciales de la trilogie Star Wars ont cependant eu le mérite de soulever une question assez intéressante : À qui appartient un film, à son créateur ou au public ?
En 1997, alors que Gorge Lucas prépare la prélogie, celui-ci décide de ressortir au cinéma la trilogie originale à l’occasion du 20ème anniversaire de l’épisode IV. Toutefois cette édition spéciale va bien au-delà d’une simple remasterisation des trois films, car Lucas souhaite également ajouter des plans qu’il n’avait pas put intégrer à l’époque à cause de la limitation technique, chose désormais possible grâce à la technologique numérique. Si sur le papier la promesse sonne plutôt bien, nombreux ont été les fans à grincer des dents lorsqu’ils ont découvert cette édition spéciale dans les salles obscures.
Un premier film qui a marqué l’histoire du cinéma, un second en tout point supérieur, et un troisième opus en léger retrait, mais tout de même bon, la trilogie originale reste encore, et de loin, bien supérieure aux deux trilogies qui lui succéderont. Mais aussi une grande leçon de cinéma dans ce qu’il peut nous offrir de meilleur comme de pire. Car la trilogie originale, et par extension la prélogie, c’est aussi l’histoire d’un homme : George Lucas. Et quand bien même on ne connaîtrait pas l’histoire de sa vie, ses films retranscrivent tout de même clairement certains de ses choix plus ou moins judicieux, jusque dans les éditions spéciales et plus tard avec la prélogie.
Un premier film qui a marqué l’histoire du cinéma, un second en tout point supérieur, et un troisième opus en léger retrait, mais tout de même bon, la trilogie originale reste encore, et de loin, bien supérieure aux deux trilogies qui lui succéderont. Mais aussi une grande leçon de cinéma dans ce qu’il peut nous offrir de meilleur comme de pire. Car la trilogie originale, et par extension la prélogie, c’est aussi l’histoire d’un homme : George Lucas. Et quand bien même on ne connaîtrait pas l’histoire de sa vie, ses films retranscrivent tout de même clairement certains de ses choix plus ou moins judicieux, jusque dans les éditions spéciales et plus tard avec la prélogie.
Un premier film qui a marqué l’histoire du cinéma, un second en tout point supérieur, et un troisième opus en léger retrait, mais tout de même bon, la trilogie originale reste encore, et de loin, bien supérieure aux deux trilogies qui lui succéderont. Mais aussi une grande leçon de cinéma dans ce qu’il peut nous offrir de meilleur comme de pire. Car la trilogie originale, et par extension la prélogie, c’est aussi l’histoire d’un homme : George Lucas. Et quand bien même on ne connaîtrait pas l’histoire de sa vie, ses films retranscrivent tout de même clairement certains de ses choix plus ou moins judicieux, jusque dans les éditions spéciales et plus tard avec la prélogie.